La pétition Arrêtez de détruire les jeux vidéo gagne largement Assistance pour Xperia de Sony dans 7 pays de l’UE

Auteur : Bella Jan 24,2025

Stop Destroying Video Games Petition Gains Wide Support in 7 EU Countries

Une pétition de l'Union européenne exigeant que les éditeurs maintiennent la jouabilité des jeux en ligne après l'arrêt des serveurs prend de l'ampleur. L'initiative « Stop à la destruction des jeux vidéo » a déjà dépassé le seuil de signatures dans sept pays de l'UE.

Progrès significatifs vers 1 million de signatures

Stop Destroying Video Games Petition Gains Wide Support in 7 EU Countries

La pétition a recueilli 397 943 signatures – 39 % de son objectif d’un million – au Danemark, en Finlande, en Allemagne, en Irlande, aux Pays-Bas, en Pologne et en Suède. Plusieurs pays ont même dépassé leurs objectifs de signature individuels.

Cette initiative répond directement à la préoccupation croissante concernant les jeux qui deviennent injouables après la fin du support des éditeurs. La pétition plaide en faveur d'une législation obligeant les éditeurs à garantir le fonctionnement continu de leurs jeux, même après la fermeture officielle des serveurs.

Comme l'indique la pétition, les éditeurs qui vendent ou octroient des licences à des jeux au sein de l'UE devraient être obligés de maintenir l'état jouable des jeux. Cela vise à empêcher les éditeurs de désactiver des jeux à distance sans proposer d'alternatives raisonnables pour la poursuite du jeu.

Stop Destroying Video Games Petition Gains Wide Support in 7 EU Countries

La pétition met en avant la fermeture controversée de The Crew d'Ubisoft en mars 2024 comme un excellent exemple. Malgré une base de joueurs importante (plus de 12 millions dans le monde), les fermetures de serveurs ont rendu le jeu injouable, suscitant l'indignation et même des poursuites judiciaires en Californie.

Bien que la pétition ait encore besoin d'un soutien important pour atteindre son objectif, les citoyens de l'UE ont jusqu'au 31 juillet 2025 pour la signer. Les citoyens non européens peuvent toujours contribuer en faisant la promotion de la pétition au sein de leurs réseaux.